Claude George, président de la communauté d’agglomération de Saint-Dié-des-Vosges : « La réhabilitation de la friche administrative au patrimoine architectural remarquable est le fruit d’un travail colossal difficile à imaginer aujourd’hui et de la combinaison de nouvelles prouesse techniques. Cet équipement doit devenir un lieu majeur, à la hauteur des ambitions de la Déodatie, pensé et tourné pour tous les habitants de l’Agglomération, quel que soit leur âge ou leur milieu social. La Boussole rayonnera dans la ville-centre et dans nos territoires ruraux. Et notre force est justement cette nécessaire cohésion ruralité/ville-centre. »
Bruno Toussaint, maire de Saint-Dié-des-Vosges : « En vieux Déodatien, j’ai connu les différentes vies de cet ensemble architectural de la Seconde Reconstruction. Aujourd’hui, avec cet ambitieux projet à vocation culturelle et touristique, je suis un maire heureux car la communauté d’agglomération investit dans la ville-centre et valorise le patrimoine déodatien. »
François Vannson, président du Département : « La réhabilitation d’une friche est synonyme de nouveau départ, sans faire fi de l’histoire. La ville a été marquée par le Gymnase Vosgien et par Jules Ferry, qui ont donné son empreinte à Saint-Dié, en termes de culture et d’éducation. La Boussole est le dénominateur commun de ces siècles d’histoire. »
Franck Leroy, président de la Région Grand Est : « La Boussole a réussi l’objectif de redonner vie à cette friche et sa dignité à l’image de la Reconstruction. Cette réussite est exceptionnelle et la Déodatie peut être fière de compter cet équipement dont le rayonnement dépassera les limites de son territoire. C’est un signal fort, la démonstration d’un territoire qui porte des projets structurants. La Boussole démontrera que l’ambition irrigue le territoire. »
David Valence, député, ancien président de l’Agglomération, à l’origine du projet de La Boussole : « J’ai rêvé ce lieu comme un message adressé aux habitants. Dans dix ans, peut-être que l’histoire que l’on raconte aujourd’hui sera oubliée et que l’on parlera tout simplement de La Boussole et c’est très bien, car La Boussole aura alors redonné de la fierté aux habitants. Ils le valent bien. »
Dominique Coulon, architecte : « Lorsque j’ai découvert ce bâtiment, j’ai vu une cour avec des voitures, c’était plutôt moche. Immédiatement, j’ai su que ce devait être le lieu de centralité de ce bâtiment. L’idée était de créer un lieu où tout le monde puisse se sentir bien, on l’on ne viendrait pas forcément pour emprunter un livre ou chercher une offre touristique, mais juste pour être là, pour être bien. »