Étang du Souche

Dans l’objectif de diversifier les activités liées à l’eau et à l’environnement, la Communauté de Communes de la Haute Meurthe a fait l’acquisition de l’étang et ses terrains appartenant aux papeteries du Souche en mars 2005.
C’est un lieu idéal pour la promenade, la pêche et la détente, situé près de la Voie Verte et de la vallée de la Petite Meurthe.

En avril 2007, la Communauté de communes a mis à disposition gracieusement à l’association de pêche du Souche, pour qu’elle en assure une bonne gestion des activités autour de l’étang et principalement les parties de pêche et l’application des règlements, de consignes de sécurité ainsi que la surveillance des lieux.

C’est en septembre 2007, que la Communauté de Communes a décidé de construire un bâtiment de 120 m² pour recevoir à la fois les écoles, les touristes, les associations… dans un lieu accueillant et fonctionnel où peuvent se dérouler diverses animations et ateliers pédagogiques.

Il est possible de louer l’étang du Souche pour les associations au tarif de :

• 120 € la demi-journée,
• 200 € la journée.

Bergerie de Straiture

La bergerie, le berger et la bergère…

Une bergerie intercommunale installée sur la commune de Ban-sur-Meurthe-Clefcy pour lutter contre la progression des friches.

Située en zone de moyenne montagne, la vallée de la Petite Meurthe subit un "enfrichement" en raison de la déprise agricole liée au développement local de l'industrie textile au siècle dernier et à l'attrait pour la production forestière dans les années cinquante. La forêt a progressivement envahi les terres agricoles jusqu'aux portes du fond de la vallée. Pour lutter contre cette fermeture du paysage, les élus communautaires de la Haute Meurthe ont souhaité développer l'agriculture et le pastoralisme. Certaines petites parcelles, d'accès difficile (terrains abrupts, fonds de vallée), n’étaient pas accessibles aux bovins, c'est pourquoi l'introduction d'ovins est apparu comme la meilleure solution.

Pour lutter contre ce phénomène, les élus communautaires ont donc décidé de construire en 1999 une bergerie intercommunale et de la louer à un éleveur local d'ovins. Le locataire de la bergerie s'est engagé à déplacer son troupeau de 200 brebis sur les différentes parcelles des communes membres.

En 2004, la bergerie a été agréée « ferme pédagogique ».

La bergerie participe également à l'animation touristique et culturelle du territoire en faisant notamment des démonstrations de tonte et du travail des chiens de berger. On y trouve également une boutique avec les créations en pure laine…

La bergerie se veut un lieu de rencontres, d’échanges et de transmission autour d’une activité agricole riche et variée dans un environnement préservé.

Scierie du Lançoir

Le sagard… et sa scierie

Propriété des Ducs de Lorraine, puis de l’État Français, gérée par les Eaux et Forêts elle fonctionne jusqu’au 12 mai 1953, date à laquelle elle est mise en vente considérée comme non rentable.

René DURAND, dernier des sagards - le nom vosgien des scieurs -, se porte acquéreur alors, et remporte les enchères ; il sciera à son compte jusqu’en 1963.

C’est en 1992 que Jean et Yvette DURAND, héritiers de la scierie, s’entourent de passionnés et fondent l’association du lançoir (loi 1901). Des projets de restauration en autofinancement sont mis en place, des lycéens du lycée professionnel de Georges-Baumont de Saint-Dié-des-Vosges réparent la turbine, des scouts ardéchois aménagent le jardin. Le Lançoir rejoint le « réseau force hydraulique » du Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges et bénéficie de l’aide précieuse de ce dernier ; en 1997 la scierie est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.

Jean Durand et son équipe de bénévoles organisent des visites, expliquent la particularité des lieux dont le pierrier d’où les grumes pouvaient être lancées vers la scierie jusqu’en 1950, (d’où le nom de scierie du Lançoir), montrent le fonctionnement hydraulique et le sciage grâce au haut-fer, le tout agrémenté de très nombreuses anecdotes et apports historiques.

Hélas, immobilisé en octobre 2004 par d’importants problèmes de santé, Jean Durand ne peut plus assurer les visites. Les bénévoles de l’association se relayent mais, malgré tous leurs efforts, le nombre de visiteurs chute.

Courant 2006, une étude est lancée par la Communauté de Communes de la Haute Meurthe et le Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges pour envisager le devenir de la scierie et les aménagements nécessaires à sa « mise en tourisme » et définir les modalités de gestion durable de cet équipement.

Pour faciliter les projets, tant en investissement qu’en fonctionnement, la Communauté de Communes propose le 9 août 2006, d’acquérir la scierie. L’acte de vente est alors signé en janvier 2007.

En devenant propriétaire du haut fer du Lançoir, la Communauté de Communes garantit que son âme ne sera jamais à vendre ».

Une convention de partenariat est alors conclue entre la Communauté de Communes et l’association du Lançoir, permettant ainsi le recrutement d’un animateur afin d’assurer la conduite des visites.

En parallèle la Communauté de Communes lance l’opération de réhabilitation sur 2 tranches. La première tranche de travaux démarre à l’automne 2008 et se termine au printemps 2009. Quant à la deuxième tranche, elle débute à l’automne 2010 pour finir au printemps 2011.

Le coût de l’opération s’est monté à 564 000 € HT subventionnés à 58 %, soit 329 000 € par le conseil régional, le conseil départemental et le FEDER.

Le bâtiment a ainsi fait l’objet d’une restauration de qualité : aménagement extérieur, intérieur, mobilier... et a obtenu en 2013, le label « tourisme et handicap ».

Enfin, les efforts de l’association et de la Communauté de Communes de Saint-Dié-des-Vosges ont permis d’obtenir une marque haute en notoriété « Label Qualité Tourisme ».

Aujourd’hui, la scierie du Lançoir a tout pour réussir, dotée d’une peau neuve et placée sur une route touristique du département des Vosges.

Le nombre de visiteurs augmente d’année en année…

Médiathèque Jean-de-La-Fontaine

Médiathèque Jean-de-La-Fontaine de Saint-Dié-des-Vosges

La Médiathèque Jean-de-la-Fontaine est située dans le quartier de Saint-Roch à Saint-Dié-des-Vosges, au rez-de chaussée du bâtiment abritant aussi l’école primaire Jacques Prévert.

Ancienne annexe de la Médiathèque Victor-Hugo créée en 1965, elle est désormais un site à part entière du réseau des médiathèques.  Entièrement rénovée en 2016, la structure a l’avantage d’être de plain-pied, d’être entourée de verdure et de disposer des places de stationnement gratuites à proximité.

Dans une ambiance bleutée et épurée, vous y serez accueillis par Gaëlle et Marie-Chantal.

> https://escales.saint-die-des-vosges.fr

SERVICES

Profitez des collections enrichies depuis 2018 : romans, documentaires, bandes dessinées, albums jeunesse, CDs et DVDs n’attendent plus que vous.

À l’entrée de la médiathèque, un espace presse avec divers périodiques (journaux et magazines) est à votre disposition.

À proximité, une sélection de DVDs (films, séries, documentaires) et CDs de musique, permet aux petits et aux grands de satisfaire leur curiosité. Vous y trouverez aussi des livres audio, d’autant plus qu’une spécialiste de cette autre façon de lire saura vous transmettre sa passion et vous guider dans votre choix. N’hésitez pas à lui demander conseil !

Des tables pour étudier sont disponibles à deux endroits de la médiathèque.

4 postes multimédia sont répartis dans les locaux. Vous pouvez y effectuer une recherche sur le catalogue et/ou la consultation sur internet.

La médiathèque joue un rôle socio-culturel essentiel dans la vie du quartier Saint-Roch. Elle propose des animations qui permettent aux enfants comme aux parents de se divertir et de se rencontrer (Blabla’thé, Quiz et Vous, Des Pompons et des histoires). Elle favorise également les échanges avec les habitants des autres quartiers de la ville et des autres communes de la Communauté d’Agglomération qui sont régulièrement présents aux rendez-vous de l’année (L’Été en grand, les mercredis récréatifs en partenariat avec le centre social Germaine Tillion).

Conservatoire Olivier-Douchain (COD)

Retrouvez tous les rendez-vous du Conservartoire Olivier-Douchain
dans la plaquette Mai-Juin-Juillet
à télécharger ici

Un établissement d’enseignement artistique reconnu

Le Conservatoire Olivier-Douchain est un établissement d’enseignement artistique reconnu grâce à la qualité de sa pédagogie et sa participation active dans divers projets départementaux. Il rassemble désormais les sites de Fraize, Etival, Senones et Raon-l’Etape autour du site central de La Nef à Saint-Dié-des-Vosges.

Le Conservatoire propose une quarantaine de disciplines individuelles au total ainsi que de nombreuses pratiques collectives. Les professeurs mettent un point d’honneur à adapter leurs enseignements en fonction des élèves accueillis : enfants, adultes, public empêché.

Les styles, du baroque à la musique contemporaine et des musiques traditionnelles aux musiques actuelles en passant par le jazz, ne sont pas oubliés. De même que la pratique vocale puisque le Conservatoire propose en plus du chœur d’enfants et de l’ensemble vocal adulte, des cours de technique vocale et de chant musiques actuelles. Tout au long de l’année, le Conservatoire propose à ses élèves et au public de nombreux projets.

Télécharger la plaquette 2018-2019 (PDF 186 Ko)

Objectifs

Le Conservatoire Olivier-Douchain, établissement d’enseignement artistique intercommunal, a pour mission de prodiguer un enseignement musical pluridisciplinaire de qualité aux enfants comme aux adultes. Ses objectifs visent à former de futurs musiciens et des mélomanes, quel que soit leur âge, par la pratique individuelle et collective. La pédagogie est axée non seulement sur l’apprentissage des techniques de base dites «classiques» mais aussi sur une ouverture à tous les autres styles de musique : jazz, musique contemporaine, musiques actuelles et traditionnelles...

Inscriptions

> Pour les anciens élèves

Tarifs

Les élèves habitant la Communauté d’Agglomération de Saint-Dié-des-Vosges devront se munir de leur avis d’imposition 2018. Les tarifs (de 90 € à 300 € l’année) varient en fonction du quotient familial et de l’âge de l’élève. Le tarif est dégressif en cas d’inscriptions multiples au sein d’une même famille. Tarifs spécifiques pour les élèves participant aux orchestres ou ensembles des écoles et de l’agglomération.

Disciplines enseignées

Et aussi...

Master class

Les élèves ont la possibilité de rencontrer des musiciens reconnus lors des projets et des master class.

Evaluation

Evaluation continue des élèves, avec la souplesse d’une organisation par cycles pour suivre le rythme de chacun. Possibilité d’obtention d’un diplôme de fin de 1^er, 2^e cycle (validé par un jury de professionnels) et perfectionnement possible en 3^e cycle. Les élèves peuvent suivre un cursus complet en classique et en jazz.

Villes en musique

Tout au long de l’année scolaire, les élèves sont invités à participer à divers projets : concerts, goûters musicaux en résidence du 3^e âge, Concours Musical de la Communauté d’Agglomération, intégration possible des élèves de 2^e cycle dans les différents ensembles de l’agglomération et participation à des projets avec d’autres conservatoires et écoles de musique.

Voie verte

CE N'EST QU'UN DÉBUT !
Pour proposer une alternative à la voiture et faire des économies tout en réalisant un geste profitable pour la planète, les élus de l’Agglomération de Saint-Dié-des-Vosges travaillent à l’extension et l’interconnexion des trois voies vertes que compte le territoire.

- La voie verte de la Vallée de la Plaine :
Raon-l’Etape/Raon-sur-Plaine (25 km) ;
- La voie verte Chemin des Abbayes :
Etival/Moyenmoutier/Senones/Moussey (16 km) ;
- La voie verte de la Haute-Meurthe :
Plainfaing/ Saint-Léonard (9 km).

Malgré des difficultés de réalisation du fait de la topographie de certains endroits, l’Agglomération de Saint-Dié-des-Vosges entend bien réussir son par. La voie verte poursuivra sa route !

A vos marques… prêt, partez !

En 2000, la Communauté de Communes de la Haute Meurthe et la Communauté de Communes du Val de Meurthe ont décidé de réhabiliter l’ancienne voie ferrée reliant Fraize à Anould en Voie Verte, sur un linéaire de 4 300 m.

La Communauté de Communes a ensuite réalisé, en 2008 un prolongement de 1 500 m permettant de relier Fraize à Plainfaing pour une longueur totale de la voie verte aujourd’hui de 5 800 m.